Décidément, Michel Kamano a du mal à concevoir qu’il n’est plus président d’une institution de la république, même si elle la 4èm ou la 5èm dans la hiérarchie des institutions Étatiques, et qu’il est réduit au rôle de simple député, qui est plus est, de la mouvance, caisse de résonance du pouvoir en place.
Qui l’a trompé ? Parce qu’il est connu de beaucoup, il se racontait que s’il venait à l’assemblée, il lui serait voué un grand poste, pourquoi pas le perchoir.
Il semble même que c’était le deal entre lui et le chef de l’État, lequel avait d’emblée destiné la présidence de l’assemblée nationale à la forêt.
Que s’est-il passé finalement ? Au point que Michel en soit réduit à sa plus pauvre expression ? Au point de continuer à s’agripper à son ancien poste de président du Conseil Économique et Social.
En tout cas, le cumul dure et dure encore ! Selon nos informations, Michel n’a jamais démissionné du poste, alors que la loi lui imposait de le faire, avant l’entrée en fonction de l’assemblée élue à laquelle il était censé appartenir.
Pire, Michel garderait encore son bureau et tous les avantages liés aux fonctions de président du CES, même si, en apparence, c’est la vice-présidente Tolno qui évacuerait les affaires courantes, mais le tout sous le regard gendarme de Michel…
Eh oui, ça commence à faire la Rue Michel !!!
A suivre !
La rédaction