Selon Jeune Afrique, Veolia a remporté le contrat de gestion de la société publique Électricité de Guinée (EDG).
Le groupe français a remporté le contrat de gestion de la société publique Électricité de Guinée (EDG). Plusieurs fois repoussée, la signature finale doit avoir lieu dans les prochaines semaines en présence du chef de l’État, Alpha Condé, et du ministre de l’Énergie et de l’Hydraulique, Cheick Taliby Sylla, ajoute Jeune Afrique.
Ce projet, note JA, pour lequel l’appel à manifestation d’intérêt a été lancé il y a plus d’un an, a été retardé par la crise Ebola, qui a durement touché le pays. Ce contrat de quatre ans doit améliorer les performances d’EDG et participer à la mise en oeuvre d’un plan de redressement de 1,53 milliard de dollars (1,44 milliard d’euros), principalement financés par des institutions de développement, dont la Banque mondiale.
Le spécialiste de l’eau, dirigé par Antoine Frérot, est déjà présent dans l’électricité au Gabon, où il possède 51 % de la Société d’énergie et d’eau du Gabon (Seeg) et son contrat de concession, qui s’achève en 2017, rappelle le journal Panafricain.
Source : JA
Le groupe français a remporté le contrat de gestion de la société publique Électricité de Guinée (EDG). Plusieurs fois repoussée, la signature finale doit avoir lieu dans les prochaines semaines en présence du chef de l’État, Alpha Condé, et du ministre de l’Énergie et de l’Hydraulique, Cheick Taliby Sylla, ajoute Jeune Afrique.
Ce projet, note JA, pour lequel l’appel à manifestation d’intérêt a été lancé il y a plus d’un an, a été retardé par la crise Ebola, qui a durement touché le pays. Ce contrat de quatre ans doit améliorer les performances d’EDG et participer à la mise en oeuvre d’un plan de redressement de 1,53 milliard de dollars (1,44 milliard d’euros), principalement financés par des institutions de développement, dont la Banque mondiale.
Le spécialiste de l’eau, dirigé par Antoine Frérot, est déjà présent dans l’électricité au Gabon, où il possède 51 % de la Société d’énergie et d’eau du Gabon (Seeg) et son contrat de concession, qui s’achève en 2017, rappelle le journal Panafricain.
Source : JA