Un grand homme est celui qui sait réorganiser et reconstruire sa vie après une souillure d’image ou d’honneur. Un petit homme est celui qui monnaie son honneur et qui passe tout son temps à forcer les attentions et les admirations des jeunes filles, dans le seul but de planifier un logiciel de séduction pour pouvoir mieux agrandir son ‘’champ de piège de viol de jeunes filles’’.
Oui ! Le journaliste Cheikh Yérim Check ne jure que par l’agrandissement et l’entretien avec soin et attention, son ‘’ Champ de piège de viol de jeunes filles’’. Car, pour lui, il n’y a pas de plus grand honneur et de plus grand privilège que de partir en prison pour une accusation de viol de jeune fille.
Lors de mon séjour scientifique à Dakar en 2012, un ami sénégalais, dont je préfère taire l’identité, m’a confié la formule sacrée de Cheikh Yérim Check relative à la conquête du cœur des jeunes filles. Pour ce journaliste sans scrupule, l’amour marche avec la formule suivante : « Une relation d’amour commence par le viol, s’entretient par le viol et se termine par la prison ». Mon cher Yérim, pour votre information, rien de bon ne sort d’un viol. Il ne peut être rien d’autre qu’une violence, une profanation, un outrage, un manquement, une transgression, un crime, une trahison, une infraction et une agression. C’est la forme la plus sauvage d’une relation. C’est le recours de ceux qui ne maitrisent pas leur pulsion et leur faiblesse d’homme. Quand on ne sait pas séduire avec les mots, il faut passer par le viol. Quelle honte pour la lignée Yérim !
Si la tête est faite pour décoder les aléas de la vie, celle de Yérim Cheikh est faite pour codifier des stratégies de viol de jeunes lycéennes. Je plains ceux qui analysent les écrits d’un journaliste qui peut se laisser trainer par une jeune lycéenne comme une bête inferieure par une bête supérieure.
Cher Check Yérim Check, pour votre information, la jeunesse guinéenne de 2015 n’est pas celle de l’autre époque ni celle prête à écouter un homme dont la chair est plus forte que l’esprit. Cette jeunesse sait qu’un homme, dont la chair est plus forte que l’esprit est un vagabond sexuel et un esclave des désirs. Le seul nom que mérite un tel homme est « Adultère » et le seul endroit qui lui est réservé est le « le trou de la lapidation ».
Ici, la Guinée de 2015, si un homme se donne pour nom « brave », il peut être sûr de rencontrer la « bravoure ». Quand on veut se moquer des guinéens avec une plume médiocre, une plume séductrice des lycéennes, on peut être sûr de provoquer la colère de la plume des guinéens de la trempe de M. Guillaume Hawing. Un modèle de plume, non pas pour séduire les jeunes lycéennes, mais pour démystifier et dégonfler des énergumènes de la trempe de Cheikh Yérim Check.
Monsieur Cheikh Yérim Check, quand on ne sait pas ce qu’on veut, on peut être sûr de confondre le verbe « AIMER ou SEDUIRE » au verbe « VIOLER ou BRIGANDER ».
Pr. Guillaume Hawing, Conférencier d’Honneur.