« Mon beau-fils est un jeune élève studieux et sérieux. Il n’aime pas les sorties comme les jeunes de son âge, il préfère plutôt passer son temps devant la télévision à regarder des chaînes documentaristes. Il est surtout le fils de mon mari, le premier. Il n’a que 20 ans mais il parait en avoir dix de plus tant il est bien bâti corporellement et intellectuellement ». C’est ainsi qu’a parlé une jeune femme qui dit avoir du mal à résister le fils de son mari.
Moi et le père de mon beau-fils, nous nous sommes mariés l’année dernière et nous vivons heureux. Ce n’est que cette année que mon mari a voulu que son fils vienne vivre avec nous à la maison. Il a toutes les qualités d’un bon garçon bien élevé : respectueux, poli et travailleur. Pendant les deux premiers de son arrivée, il m’appelait ma tante. Après, il s’est résolu à m’appeler « maman » et cela ne me déplaisait pas du tout, surtout quand nous sortions. Je voyais des dizaines d’yeux interrogateurs se tourner vers moi et m’étudier minutieusement. J’imaginais qu’ils me trouvaient sans doute bien trop jeune pour être la mère d’un si grand et charmant garçon. Rien qu’à cette pensée, je me sentais grisée.
Très vite, mon beau-fils et moi étions devenus proches. On avait tissé de solides liens intimes. Nous nous entendions vraiment bien, je l’aimais beaucoup et lui me le rendait en retour. Il n’y avait donc pas de conflit entre nous à limage de plusieurs familles que je connais où l’enfant hors mariage de l’un des conjoints est difficilement accepté ou intégré. Il me racontait tout. J’étais sa confidente. Je lui donnais des conseils.
Un soir, en rentrant du boulot (je rentre généralement quelques heures avant mon mari), j’ai surpris mon beau-fils assis sur son lit, pleurant à chaude larmes par l’entrebâillement de la porte. Sans taper, je suis entrée dans sa chambre pour lui demander ce qui n’allait pas. C’est après avoir refermé la porte derrière moi que je me suis rendu compte qu’il était nu. Il paraissait encore plus beau que d’habitude avec son corps d’hercule et sa poitrine duveteuse.
Quand il me vit, il se recouvrit maladroitement de son drap, laissant une partie de son corps à ma vue et me jeta un regard dans lequel je vis une flamme naitre. Je me suis approchée de « mon fils » et il m’a serré dans ses bras en sanglotant. Il sentait très bon, je crois qu’il venait de prendre une douche. Il m’expliqua vaguement comment une fille qu’il convoitait dans son établissement et pour laquelle j’avais donné quelques astuces, l’avait humilié devant ses amis à son retour des cours. Il était un enfant très sensible et susceptible. Je me sentis soudainement responsable de son malheur.
Je le serais un peu plus fort contre ma poitrine. Le drap avec lequel il protégeait sa nudité tomba à nos pieds. Je senti son sexe se durcir contre moi. Il releva son visage vers moi, nos lèvres étaient face à face.il rapprocha doucement ses lèvres des miennes. Je fermai les yeux et sentis qu’elles m’effleuraient. J’ai entrouvert la bouche et nous nous sommes embrassés fougueusement.
C’est de là que nous allons commettre l’irréparable car il va m’entrainer dans son lit et vous connaissez la suite…
Depuis ce jour, je n’ai pas arrêté de penser à lui. Au bureau, à la maison et même au lit avec son père, son image me revient telle une obsession. Je ne sais plus que faire. Mais il a prit ses distances de moi. Il me parle rarement et ne le fait qu’en présence de son père. Il refuse de m’accompagner comme avant, prétextant toujours des exercices à faire. Il a même commencé à sortir avec ses amis et ne regarde presque plus la télé. Je souffre beaucoup de son attitude à mon égard, je souffre encore plus pour ce que j’ai fait. J’ai peut être commis la plus grosse erreur de ma vie. Pourrai-je un jour me racheter ?
Sans limites