Un mercenaire de la plume en voie de sortie de piste, après avoir trainé sa vilaine bosse partout et ne récolter que des nèfles et du déshonneur, est en train de s’échouer comme un requin mortaisé sur la banquise de l’Atlantique.
Son nom, Cheick Yérim Seck, un sénégalais qui a été couvert de honte et d’opprobre dans son pays, après avoir fait subir, tel un forcené, les derniers outrages à une mineure, est en Guinée, depuis près d’un an, en quête de rebond.
Au moyen d’un site nauséeux, il nargue au quotidien les autorités guinéennes au plus haut niveau et insulte la république, en débitant des carabistouilles inventées de toutes pièces.
C’est ce qui constitue le fond de commerce pour ce journaliste au passé peu honorable et qui a même été éconduit comme un malpropre du plus grand hebdomadaire du continent, ‘’Jeune Afrique’’, connu pour son sérieux et son professionnalisme.
Puisqu’il faut dire les choses telles qu’elles se sont déroulées, c’est le lieu de rappeler que c’est justement en Guinée, au temps du gouvernement de consensus, que ce flibustier est venu amasser du foin pour son journal dont il était en mission, et qu’il finira par détourner. Ce qui lui valut donc cette sortie sur la pointe des pieds de cet organe.
En dépit de toute cette vilaine réputation qu’il traine tel un boulet au pied, Yérim, comme un Molosse qui ne peut pas se défaire de sa façon éhontée de s’asseoir, depuis son arrivée en Guinée, va de calomnies en diffamations, au gré d’articles commandités, destinés, à raison, à détruire.
Mais avant de s’occuper de ces articles-torchons et dire comment il les traficote, guidé par le seul souci de se faire la poche, parce que d’une cupidité sans limite, Yérim Seck, c’est d’abord et avant un bonimenteur, qui a tout d’un pirate de la plume sauf journaliste.
Quelques barbouillages de ce journaleux se rappellent à nos esprits, pour étayer nos propos :
Primo : A l’orée de la présidentielle d’octobre dernier, il rapporta sur son nauséeux site que le vote avait commencé à Siguiri avant l’heure. Et affirmait tenir ce canular du fédéral du PEDN de cette préfecture. Faux, archifaux, rétorquera ce dernier aussitôt qu’il eût été mis au courant de cette allégation sans fondement, à lui, attribuée.
-Deuxio : il titrait quelques semaines plus tard que l’ancien premier ministre Lansana Kouyaté, avait trempé jusqu’au cou dans un scandale de fonds donnés par un Prince des Emirats Arabes Unis, avant de se rétracter, arguant qu’il avait été induit en erreur par sa source. Où est le professionnalisme ?
Tertio : par une acrobatie intellectuelle dont lui seul a le secret, au moyen d’un plagiat des plus ragoûtants, il tentait récemment de jeter l’anathème sur le concours d’élection Miss Guinée, affirmant des choses qui ne se sont jamais produites.
Venons en maintenant à sa propension débordante de toujours nuire à des honnêtes citoyens et cadres de la république. Servant toujours des intérêts et des agendas cachés, Yérim, n’a eu de cesse, depuis qu’il est en Guinée, de dégainer contre des cibles à abattre.
C’est dans cette logique satanique qu’il s’en est pris plus d’une fois, lors de la dernière présidentielle à des leaders politiques comme El Hadj Cellou Dalein Diallo et Lansana Kouyaté, c’est dans cette voie macabre qu’il s’en est pris récemment aussi à Ibrahima Kalil Kaba, chef de cabinet civil du président de la république, qu’il accusait d’être capable de ‘’ marcher sur des cadavres pour assouvir ses ambitions’’ ;
C’est dans cette même voie d’hérésie qu’il tente de déverser son venin sur des personnages comme Dr Mohamed Diané, ministre d’Etat, directeur de cabinet de la présidence de la république, M. Mohamed Diaré, Ministre d’Etat de l’économie et des finances, M. Loucény Nabé, Gouverneur de la BCRG et son adjoint, M. Alpha Yéro Baldé.
Il affirme sans en avoir les preuves que le président Alpha Condé, aurait menacé Dr Mohamed Diané de le faire partir et de le faire remplacer par un certain K. Faux, archifaux !
Dr Mohamed Diané dont le seul souci est de servir le président Alpha Condé et aider à la concrétisation de son programme de changement, est loin de la description que Yérim en fait. Ce fidèle compagnon d’infortune de celui qui revendique 40 ans de combat politique, est tout sauf un avide du pouvoir et de l’argent.
Quid des autres cadres qu’il voue aux gémonies ? Qu’il s’agisse du ministre d’Etat Mohamed Diaré, du Gouverneur Louceny Nabé ou de son adjoint Alpha Yéro Baldé, il n’est nulle part établi, pour le moment, que ceux-ci s’adonnent à une quelconque contrebande de devises, comme Yérim prétend le savoir, tel qu’il l’écrit sur son site.
Le constat de la dernière mission du FMI et de la banque mondiale dans notre pays, révélant que la Guinée surévalue sa monnaie qui résiste bien à l’appréciation du billet vert par rapport aux autres devises internationales, contredit l’iconoclaste Yérim.
Pour solde de tout compte, il faut dire que ce Yérim ne changera point, en dépit de tous les Pas de Clerc qu’il commet à longueur de jours et de semaines, en dépit aussi de toutes les tomates pourries qui lui sont envoyées à la figure, lorsque régulièrement, il a été confondu à ses propres turpitudes.
C’est un impénitent Pirate de la plume, qui n’hésitera guère à marcher sur un corps, pour servir ses intérêts sordides…
Ibrahima Sory Bangoura, citoyen guinéen