Suite à la réaction d’un sénégalais de la structure Oba maths du Sénégal à ma trouvaille sur la répartition des nombres premiers, le député guinéen, Ousmane Gaoual Diallo, sur sa page face book, le samedi 23 avril 2016, a publié la réaction du sénégalais et parlant de moi, a réagi en ces mots : «Quand vous écrivez notamment sur le net vous vous exposer à la critique et donc à la contradiction. Notre savant est donc fou ». Plus loin dans les commentaires, répondant à un de ses contradicteurs, qui lui demandait « Et si notre Guillaume avait raison et que ce soit l’opposant qui n’a pas encore totalement bien compris? », il répond tout gentiment : « Avant d’être opposant je suis scientifique pas un de ces scientifiques virtuels. Le simple fait de savoir que la démonstration sur les nombres premiers nécessite un laboratoire c’est un minimum. Mais enfin on ne perd rien à attendre ».
Avant toute réaction, je dis ceci à notre député : quand on est député, représentant du peuple, on évite d’écriture à l’élémentaire. Dans sa phrase « Quand vous écrivez notamment sur le net vous vous exposer……. », Je préfère un « Z » à la place de « R » au mot EXPOSER. On écrit plutôt : « Quand vous écrivez notamment sur le net vous vous exposez….. ». Ensuite, dans cette deuxième expression « Avant d’être opposant je suis scientifique pas un de ces scientifiques virtuels…. ». Dans cette phrase, je lis un écolier. Honorable député Gaoual, qu’avez-vous fait de la notion du temps ? Pour cette phrase, le bon français est « Avant d’être opposant, j’étais scientifique, pas un de ces scientifiques virtuels…. ». Etes-vous toujours scientifique M. Diallo? Un député, représentant du peuple, doit, autant que faire se peut, éviter des fautes à l’abécédaire, à l’élémentaire. Vous incarnez une partie du peuple. Avec de telles fautes, c’est faire honte à tout un peuple. Laissez nous faire la faute et vous évitez les fautes.
Par ailleurs, au sujet du sénégalais d’Oba math que vous applaudissiez pensant qu’il a déshabillé ma trouvaille, vous vous trompez, et de la plus belle des façons. En matière de science, la première contre vérité d’un théorème, formule ou algorithme est un contre exemple. Avez-vous vu un seul contre exemple dans sa démarche ? Savez-vous que la récurrence ne marche pas avec les nombres premiers ? Les nombres ont une organisation dans une organisation. Votre Dr sénégalais applique la récurrence pour invalider ma trouvaille. Tous les mathématiciens avertis riront jaune en voyant un mathématicien qui se dit Docteur, utiliser la récurrence pour invalider un algorithme mathématique sur les nombres premiers. Savez-vous que votre docteur sénégalais n’arrive pas à faire la différence entre nombres impairs composés et nombres impairs composés successifs ? Savez-vous que votre Docteur n’osera jamais me croiser pour un débat de contradiction ? Savez-vous qu’il n’acceptera jamais m’inviter ou accepter mon invitation pour un débat contradictoire médiatisé ? Savez-vous que nombreux sont les mathématiciens éclairés qui ont déjà exposé sa faille ? Il a voulu ternir mon image, mais il ternit son image et celle de sa structure. Aujourd’hui, partout où il se trouve, de nombreuses questions se bousculeraient dans sa tête. Il mesure le danger de son essai. Il a compris qu’il s’est attaqué à l’inattaquable et que cela risque de ternir l’image de son institution.
Pour son information, incha ALLAH, je serai bientôt au Sénégal, je ne manquerai pas de faire une conférence de presse pour dire à tout le monde que la structure Oba math n’est pas une structure mathématique mais plutôt une honte mathématique et une honte pour la sous région. Quand on attaque en science, on assume. Qu’il assume et qu’il évite de se cacher. Il a commencé par la presse, qu’il ose de me croiser en présence des spécialistes et de la presse. Un scientifique n’a jamais eu peur de croiser un scientifique, Einstein a toujours croisé les scientifiques avec lesquels il ne conjuguait pas les mêmes opinions scientifiques. Que votre Docteur soit homme et qu’il honore son doctorat en acceptant de m’affronter en prouvant que ma trouvaille est fausse. Comme vous, M. Ousmane Gaoual Diallo, vous êtes aussi scientifique, et vous soutenez qu’il a raison, alors vous, relevez le défi en acceptant de m’affronter pour un débat scientifique contradictoire. Quand l’un de vous osera de m’affronter scientifiquement, il saura que les mathématiques ne sont pas la politique ni les injures, encore moins la diffamation. Je sais que ce fameux Docteur n’osera jamais me croiser, il mesure les conséquences de ce qui l’attend. Pour votre gouverne, quand j’ai parlé de ma première trouvaille en 2012, j’ai été traité de fou par la société mathématique d’un pays africain dont je me réserve de citer. Finalement, après deux ans, ils ont adhéré tous, ils fait leur rapport, et mon algorithme a été publié en 2014. Je dis bien la société mathématique d’un pays, composé des maitres de conférences en mathématique. Donc, avec seul individu se disant Docteur sénégalais, c’est une goutte d’eau dans l’océan. J’aime les défis, car je sors toujours vainqueur. Je suis un scientifique convaincu de son travail. En science, il n’y a pas de modestie : Ou on connait on parle, ou on ne connait pas on se tait. Si ce Docteur sénégalais n’a pas le courage de m’affronter, qu’il souffre de voir les honneurs et les appréciations des mathématiciens et citoyens de partout dans le monde pleuvoir. Qu’il arrête de faire honte aux intellectuels sénégalais.
Pendant que votre Docteur prend tout son temps pour inventer des méthodes qui invalideraient ma trouvaille, d’autres, partout à travers le monde, sont entrain d’implémenter mon algorithme pour solutionner leur problème de sécurité. Les messages de félicitation de tout âge et tout grade coulent de partout à travers le monde. On sent que l’Afrique avait soif d’une découverte majeure par l’un de ses fils. Messieurs Gaoual et Dr Bâ du Sénégal, cette découverte est au dessus de votre imagination la plus folle.
Cette découverte aurait servi la Guinée, mais on ne m’a jamais cru, maintenant voilà que partout dans le monde aujourd’hui, les gens commencent à s’en servir. Je voulais servir ce pays avec ma science mais je n’ai jamais été compris, comme d’ailleurs l’homme n’est jamais compris au bercail. Dans ce pays, ceux qui se réclament scientifiques ou mathématiciens et qui sont sensés connaitre la portée scientifique d’un algorithme simple de génération des nombres premiers, sont les premiers à saboter et à prendre pour un fou. Une seule chose importe, comment se rendre riche avant les 5 dernières années du Pr. Alpha Condé. Faites le tour des sites guinéens et internationaux, faites le tour des réseaux sociaux, sans parler des messages privés dans ma boite email, vous vous rendrez compte de la portée scientifique de cette trouvaille et du soulagement qu’elle a apporté dans le monde des scientifiques. Ma prière est exaucée, je dis merci à DIEU. Mon passage sur terre est et restera utile. La seule chose je regrette, est de voir tous ces honneurs pendant mon père et ma mère ne sont plus de ce monde.
Pour finir, je dis à l’honorable Ousmane Gaoual Diallo de la Guinée de partir revoir ses cours d’orthographes et de grammaire afin d’éviter de faire honte à la Guinée par ses écrits. A son fameux Dr Haadi Bâ, le sénégalais, je lui demande d’intégrer la notion d’impairs composés et d’impairs composés successifs et d’intégrer également la notion de récurrence avant de s’attaquer à ma trouvaille. Le soleil qui brille, brillera. Personne ne peut l’empêcher de briller, disait l’autre.
Pr. Guillaume Hawing