L’ex vice-président de l’UFDG, garde visiblement une dent pourrie contre la coordination régionale du Fouta.
Dans l’émission de l’émission ’’café débat’’, chez nos confrères de Gangan TV, Bah Oury s’est exprimé sur les raisons de ses récentes rencontres avec les coordinations régionales de la guinée forestière et du Mandingue.
A la question de savoir si le but de ces rencontres n’était pas politique et tactique ?
Bah Oury affirme que c’est pour matérialiser son souhait exprimé dans les lettres qu’il a adressées aux coordinations, de les rencontrer une fois son retour d’exil, qu’il a entrepris cette démarche.
Depuis qu’il a pris l’engagement vis-à-vis du Président Alpha CONDE à Paris, après que celui-ci lui en a demandé, le vice – président exclu de L’UFDG dit s’inscrire dans une logique de pacification du pays. Et l’un des véritables leviers de cette noble ambition, selon Bah Oury, ce sont les coordinations.
« les coordinations régionales, sont des composantes essentielles de la sociétés civile qui doivent être prises en compte dans le processus de raffermissement des relations entre le ethnies. Elles m’ont soutenu dans ce sens en 2008 quand j’étais ministre de la réconciliation nationale, et c’est depuis lors que j’ai gardé de bons contacts avec ces coordinations », dira-t-il.
Certes Bah Oury, apprécie le rôle fondamental de ces institutions traditionnelles, mais la réalité est que Bah Oury garde une dent contre la coordination régionale du Fouta.
Il s’explique: « Vu leur attitude qui n’est pas positive à mon égard, je m’en réserve désormais. La coordination actuelle du Fouta a un parti pris flagrant en faveur de Cellou. Elle a manqué d’impartialité et de retenue, et c’est sa responsabilité, de toutes les façons je continue mon chemin ».
Et Bah Oury de terminer en disant que ce n’est pas parce qu’un chien vous a mordu que vous devez renier toute la communauté des chiens qui restent des compagnons fidèles de l’homme.
Comme pour dire clairement que la coordination actuelle du Fouta, à travers ces attitudes hostiles à son endroit, ne doit pas ternir l’image et le rôle qu’est celui d’une véritable institution traditionnelle. Ainsi il invoque là-aussi, tout comme il l’invoque incessamment au sujet de l’UFDG, dans un futur bref, un changement de leadership.
Gardons le regard vers l’horizon.
L’ex vice-président de l’UFDG, garde visiblement une dent pourrie contre la coordination régionale du Fouta.
Dans l’émission de l’émission ’’café débat’’, chez nos confrères de Gangan TV, Bah Oury s’est exprimé sur les raisons de ses récentes rencontres avec les coordinations régionales de la guinée forestière et du Mandingue.
A la question de savoir si le but de ces rencontres n’était pas politique et tactique ?
Bah Oury affirme que c’est pour matérialiser son souhait exprimé dans les lettres qu’il a adressées aux coordinations, de les rencontrer une fois son retour d’exil, qu’il a entrepris cette démarche.
Depuis qu’il a pris l’engagement vis-à-vis du Président Alpha CONDE à Paris, après que celui-ci lui en a demandé, le vice – président exclu de L’UFDG dit s’inscrire dans une logique de pacification du pays. Et l’un des véritables leviers de cette noble ambition, selon Bah Oury, ce sont les coordinations.
« les coordinations régionales, sont des composantes essentielles de la sociétés civile qui doivent être prises en compte dans le processus de raffermissement des relations entre le ethnies. Elles m’ont soutenu dans ce sens en 2008 quand j’étais ministre de la réconciliation nationale, et c’est depuis lors que j’ai gardé de bons contacts avec ces coordinations », dira-t-il.
Certes Bah Oury, apprécie le rôle fondamental de ces institutions traditionnelles, mais la réalité est que Bah Oury garde une dent contre la coordination régionale du Fouta.
Il s’explique: « Vu leur attitude qui n’est pas positive à mon égard, je m’en réserve désormais. La coordination actuelle du Fouta a un parti pris flagrant en faveur de Cellou. Elle a manqué d’impartialité et de retenue, et c’est sa responsabilité, de toutes les façons je continue mon chemin ».
Et Bah Oury de terminer en disant que ce n’est pas parce qu’un chien vous a mordu que vous devez renier toute la communauté des chiens qui restent des compagnons fidèles de l’homme.
Comme pour dire clairement que la coordination actuelle du Fouta, à travers ces attitudes hostiles à son endroit, ne doit pas ternir l’image et le rôle qu’est celui d’une véritable institution traditionnelle. Ainsi il invoque là-aussi, tout comme il l’invoque incessamment au sujet de l’UFDG, dans un futur bref, un changement de leadership.
Gardons le regard vers l’horizon.