Il faut désormais s’y faire. Le CRAC 2015, Collectif pour la Réélection d’Alpha Condé, le mouvement de soutien pionnier qui a été à l’origine du concept du Coup KO à la dernière élection présidentielle guinéenne, s’est muée en CRAC (Convergence Républicaine pour les Acquis du Changement).
C’est depuis Paris où séjourne le président de cette organisation et certains de ses membres que la décision matérialisant ce changement de dénomination, a été prise.
Selon M. Malick Sankhon, par ailleurs DG de la CNSS, joint par mosaiqueguinee.com, ce changement s’imposait dès lors que l’objectif qui consistait en la réélection du Pr Alpha Condé, et pour lequel, le mouvement avait été crée, a été atteint avec la brillante victoire du président-candidat Alpha Condé, dès le premier tour à la présidentielle d’octobre 2015.
Désormais, soutiendra-t-il, puisque l’objectif recherché à travers la création du CRAC 2015, était de permettre au président-bâtisseur, de poursuivre la concrétisation de son vaste programme de changement, pour ainsi conduire à bon port tous les chantiers gigantesques entamés durant le premier mandant, ce mouvement le CRAC 2015, se mue ainsi en une Convergence républicaine pour défendre les acquis de ce changement.
Il faut rappeler qu’outre Malick Sankhon, cette nouvelle Convergence républicaine, regroupe de hauts cadres de l’Etat.
Il faut citer entre autres, les sieurs Mohamed Lamine Yayo, jusqu’à récemment Chef de Cabinet au ministère des finances et promu Directeur Général du Patrimoine Bâti-public, M. Ismaël Dioubaté, Directeur de change à la BCRG, M. Amirou Conté, ancien ministre de la Culture, Mme Kaba Fanta Diané, présidente des femmes de la CRAC, Ibrahima Sory Cissé et Baila Bah, tous cadres à la Caisse Nationale de Sécurité Sociale.
Bouba