Les attaques par médias interposés entre le Rpg Arc-en-ciel et l’Ufdg continuent. Après la violente sorte de la cellule de communication du parti au pouvoir contre l’opposition républicaine, Nadia Nahman, du porte-parolat du candidat de l’UFDG Cellou Dalein Diallo en 2015 a répliqué par un post sur sa page facebook. Lisez…
La machine de propagande lancée par le régime en place n’a rien à envier aux méthodes staliniennes. Les discours alarmants et grossièrement mensongers dont se fait l’écho la cellule de communication du pouvoir en place, peinent à masquer le constat d’échec et l’aveu d’impuissance de ceux qui auront entraîné la Guinée dans une traversée de désert sociale, économique, politique et culturelle sans précédent.
Sinon comment expliquer la panique totale et la fuite en avant d’un pouvoir qui se dit triomphalement élu à la seule évocation d’une marche pacifique constitutionnellement garantie ? Au fond, le pouvoir en place, conscient du malaise social qui prévaut et de son incapacité à proposer une offre politique viable de nature à satisfaire aux besoins élémentaires de nos concitoyens, craint fortement que cette marche initiée par l’opposition républicaine ne fasse office d’exutoire de toutes les frustrations accumulées jusqu’ici.
Les attaques par médias interposés entre le Rpg Arc-en-ciel et l’Ufdg continuent. Après la violente sorte de la cellule de communication du parti au pouvoir contre l’opposition républicaine, Nadia Nahman, du porte-parolat du candidat de l’UFDG Cellou Dalein Diallo en 2015 a répliqué par un post sur sa page facebook. Lisez…
La machine de propagande lancée par le régime en place n’a rien à envier aux méthodes staliniennes. Les discours alarmants et grossièrement mensongers dont se fait l’écho la cellule de communication du pouvoir en place, peinent à masquer le constat d’échec et l’aveu d’impuissance de ceux qui auront entraîné la Guinée dans une traversée de désert sociale, économique, politique et culturelle sans précédent.
Sinon comment expliquer la panique totale et la fuite en avant d’un pouvoir qui se dit triomphalement élu à la seule évocation d’une marche pacifique constitutionnellement garantie ? Au fond, le pouvoir en place, conscient du malaise social qui prévaut et de son incapacité à proposer une offre politique viable de nature à satisfaire aux besoins élémentaires de nos concitoyens, craint fortement que cette marche initiée par l’opposition républicaine ne fasse office d’exutoire de toutes les frustrations accumulées jusqu’ici.