La morale, science des mœurs, du bien ou science du devoir. De ces différentes interprétations découle une idée commune, celle d’une recherche de correction dans le comportement, c’est-à-dire dans les actions humaines.
L’homme, à tout moment, est partagé entre les désirs très divers, voire contradictoires. Des aspirations divergentes naissent en lui et sollicitent son engagement dans un sens ou dans un autre. Quels sont parmi ces désirs ce qu’il faut satisfaire ? Est-ce le sentiment égoïste, haineux ? Est-ce le sentiment sympathique ? Faut-il enfin suivre le seul jugement de la raison ? De là nait, la morale rationnelle, qui se fonde sur les notions qui expriment le plaisir et la peine.
L’homme conscient, soumet toutes ses actions à une analyse critique, dans cette analyse, ce n’est pas le sentiment mais la raison qui est le juge suprême. Elle peut conclure que l’acte envisagé doit être nécessairement fait ou évité.
C’est la vraie conduite morale à laquelle Amadou Djouldé Diallo, devrait obéir pour son propre bonheur, car le respect du Chef est une vertu cardinale du Fouta Djallon, du peulh tout simplement.
La morale n’est pas une contrainte violente qui frustre l’individu, c’est une force tranquille, elle n’est pas donnée à tout, comme à Amadou Djouldé Diallo qui se dit journaliste et historien. Il falsifie l’histoire à sa guise et s’attaque impunément au Président de la République sans fondement, un tel comportement est indigne d’un journaliste et de surcroit d’un peulh. A mon humble avis, l’objectif d’un journaliste même d’un historien est de transmettre au public l’information, la plus complète, la plus précise. Cette culture manque beaucoup à M. falsificateur.
Amadou Djouldé Diallo n’a pas le sens de la responsabilité journalistique, il ne s’agit pour toi d’une méconnaissance ou d’une négligence des principes déontologiques, mais surtout d’un manque total de prise en considération des propos dits ou écrits.
C’est pourquoi je suis partagé entre l’indignation et la honte de la part d’un homme qui se dit journaliste historien et quoi encore, fils du fouta Djallon, fouta connu pour son hospitalité, son respect légendaire vis-à-vis des chefs.
Je me donne le droit de m’interroger sur ton origine et ton appartenance communautaire. Qu’est ce qui explique ta haine contre le Président de la République, la haine est le fruit de l’ignorance, sur ton anémie intellectuelle s’ajoute l’amnésie morale.
Je n’ai pas envie de rentrer ou de répondre à tes diatribes linguistiques ni à ton arrogance comportementale, c’est juste un rappel à l’ordre. Quand tu dis dans ta réponse à François Soudan « Alpha Condé a trouvé en François Soudan, un chargé de mission pour faire le sale boulot de présenter Cellou Dalein Diallo à qui il doit pourtant cette paix sociale comme un communautariste … », lorsqu’on communique, on produit un sens et une image, les guinéens ont compris à travers tes propos que tu es membre de cette bande d’apatrides qui n’aiment pas l’entente entre Alpha et Cellou. Tout ce marchandage verbal a une visée de désinformations, d’intoxications, heureusement que le peuple t’as vite compris.
Pour en venir à tes propos, je dirai que tu transformes l’histoire à travers une déformation de stéréotypes, car Amadou Djouldé Diallo est un vendeur grossiste de mensonges, il s’est fabriqué un monde des abstractions. Je voudrais te demander Djouldé de restituer le Président de la République, chef de l’Etat dans sa stature du Symbole de la Nation, donc du respect dû à son rang.
Amadou Djouldé Diallo, ton comportement d’arriviste et d’opportuniste trompeur, est connu de tous depuis le temps Conté, nous avons encore les souvenirs, tu te faisais passer pour le laveur du chat du roi, l’éloge du roi était intarissable.
Le Juda est devenu messie par ce que le robinet lui est fermé, et ridicule, il se fait passer pour un donneur de leçons. Il faut te mirer pour comprendre si t’es vraiment en bonne posture, tu m’en donneras la réponse.
Ta frustration a fait de toi, un homme agité comme de l’agouti pris au piège, toujours prêt à prendre d’assaut les medias pour raconter des balivernes.
Je te comprends, pauvre journaliste déambulant à la recherche de la popote, qui doit faire plaisir à certains radicaux de son bord politique, qui ont trouvé en toi le parfait homme dépourvu de toutes raisons pour salir et saper la réputation de notre République.
J’espère que la leçon est bien comprise.
Laye Mamadi CONDE, Consultant en communication