Décidément, rien ne change dans notre paysage politique en Guinée. Ce sont toujours les mêmes personnages de bandes dessinées qui s’agitent bon an, mal an dans les départements ministériels et les directions nationales.
Tibou Kamara est l’archétype flamboyant et machiavélique du système politique que nous connaissons depuis la 2e république jusqu’à nos jours.
D’aucuns se demandent quel est le vrai visage de Tibou Kamara ? C’est un gavroche échappé des caniveaux de Marcory et de Treicheville (RCI). Sans exagérer, on peut le qualifier comme tel : tour à tour, pecquenot, plouc et pantin désarticulé dont certains leaders politiques se servent pour accomplir leur basse messe œcuménique.
Depuis son séjour raté et calamiteux en Côte d’Ivoire où il a traîné ses guêtres dans les maquis et beuglant miteux de la rue 12-, il s’est juré qu’à son retour au pays natal, il se fera flageller et diaboliser pour être le toutou ou le baudet des hommes politiques pour vivre débout.
Tibou Kamara est un saltimbanque et est un écorché vif, un frustré de par sa descendance : il est toujours dans une insatisfaction permanente car il ne peut briller comme il le rêve extérieurement. Il doit trouver un contexte de vie suffisamment difficile ou le créer inconsciemment pour montrer qu’il a l’étoffe d’un héros à la recherche du temps perdu. Il ne faut pas négliger l’autre face cachée de Tibou Kamara avec ses caprices d’enfants gâté à qui, l’on retire son jouet, c’est-à-dire son costard de hobereau bouseux de la 2e république. Il a du talent aussi, celui d’être un orfèvre de la prostitution et du vagabondage politique.
Ce médiocre pigiste et scribouillard ténébreux se fit le valet obséquieux du directeur de publication de l’indépendant de l’époque qui l’introduit dans le monde de la presse écrite. Erreur monumentale de son bienfaiteur qui ne pouvait imaginer qu’il a amené une brebis galeuse qui va décrédibiliser le monde honorable de la presse guinéenne.
Courant par ci et par là, comme le petit Poucet des contes de fée, il se met à plat ventre comme une vermine tout juste bonne à ramper pour cirer les pompes de Kassory afin que ce dernier l’aide à jouer dans la cour des ‘’grands’’.
Sous le parrainage de Kassory il s’emploie à vanter les mérites de feu Général Lansana Conté dans son livre rempli de cuistreries grammaticales intitulé « Lansana Conté, ma politique ». Un livre passé inaperçu qu’un élève de la sixième année n’achètera pas pour un Kopeck.
Kassory, sentant la traitrise qui suinte des pores de ce spermatozoïde l’éconduit… Malgré cette humiliation, il se met dans la peau de Rastignac doublé d’un Julien Sorel à la Con pour être l’idiot de service d’Aboubacar Somparé pour critiquer dans les colonnes de l’hebdomadaire l’Observateur, l’honorable Boubacar Biro Diallo, ex-président de l’Assemblée nationale. Cet exercice ignoble digne d’un valet de chambre lui valut d’être le président de l’AGEPI via le CNC d’alors.
Comme le disait Chateaubriand « les mendiants vivent de leurs plaies, il y a des hommes qui vivent de tout même du mépris ». C’est le cas de ce personnage fugitif du landerneau politique guinéen.
Oui, Tibou Kamara est un cas désespéré pour les psychiatres. Il y a deux (2) façons de faire la politique : ou l’on vit de la politique, ou l’on fait la politique pour vivre : il le fait mal. Il se dit que la politique est un sport de voyou pratiqué par des voyous de son acabit. L’injure à la bouche, il attaque comme un forçat tous les gens qui lui portent ombrage dans ses sombres besognes d’Arlequin qui sert plusieurs maîtres.
De près ou de loin, peu ou prou, le vagabondage politique de Tibou Kamara dans les sanctuaires des medias et le cercle démonétisé des hauts responsables politiques et financiers lui ont permis de sous-traiter des postes qu’il ne mérite pas.
Tels que le CNC, le ministère des postes et Télécommunication, celui de la communication dans les différents gouvernements de Souaré, de Cellou Dalein et du Général Sékouba Konaté comme ministre secrétaire de la présidence.
Quand-on regarde avec les yeux de Lynx, l’itinéraire embourbé et tissé de mensonges, de faux et usage de faux, de trafic d’influence auprès de ses bienfaiteurs tels que Kassory, Somparé, Dalein, Jammeh et tant d’autres, il va s’en dire que Tibou Kamara est un être maléfique. Tous les gens qu’il a servi sont dans la poisse et la scoumoune.
Tibou Kamara, ce hibou migrateur qui sème le malheur partout où il passe doit être une leçon pour tous les leaders politiques et présidents qu’il a servi, ou porté aux nues ont mal fini, soit dans la sénilité où ils ont été chassés par leur peuple. C’est le cas récent de mister Yaya Jammeh, son beau-frère par alliance.
Sidya Touré fait peur à tous ces manitous, missi dominici, caribous et vautours qui tournoient autour du palais Sakhoutoureya. Sidya Touré est leur cauchemar et leur bonnet rouge.
Ces misérables de la société politique et civile guinéenne que Victor Hugo a si bien décrit dans son œuvre « les Misérables », passent tous leurs temps à mentir matin midi et soir au président Alpha Condé.
A bon entendeur salut ! Le président Alpha Condé ne doit jamais oublier cette maxime : « qui aime trop fort, trahi le plutôt souvent », et il doit savoir que la principale caractéristique de ces multiples conseillers occultes est de le nuire.
Sidya Touré ne demande à cette camarilla de sortir de leur ligne ‘’Maginot’’ pour débattre des questions nationales qui préoccupent les guinéens.
Qui a peur de Sidya Touré ? Certainement pas Alpha Condé qui le connait assez bien. Les guinéens ne sont pas dupes, ils connaissent depuis plus de 1996 que les médiocrités nationales ainsi que tous ces fonctionnaires ripoux, ventrus, libidineux aussi budgétivore qui sont passés par l’école de l’irresponsabilité administrative l’on combattus pour sa bonne gestions des biens de l’Etat.
Clamons urbi-orbi, encore une fois que Sidya Touré fait peur à tous ces ralliés de la 25e heure, tous ces imbéciles de la souches d’agar qui ont fuient le désert brûlant de leur parti politique, tous ces gens-là ont combattus Alpha Condé lorsqu’ils étaient dans le FRAD (le front républicain pour l’alternance démocratique) avec Sidya Touré, feu Jean Marie Doré, feu Bâ Mamadou et j’en passe…
Tous ces larrons repentis qui se sont recyclés dans la délation et le pharisaïsme politique comme Tibou Kamara, ce descendant de merde, obéissent aux ordres de Kôrô Alpha Condé en tant que tels.
Oui, Sidya Touré fait peur à tous ces hommes alimentaires des caniveaux puants et nauséabonds qui ternissent l’image de notre pays. Ils savent que Sidya Touré a un destin national. Comme disait le Général De Gaulle à propos de Pierre Mendes France : « Sidya Touré est un cheval qu’on ne peut pas atteler parce que c’est le prototype d’un homme intègre que les guinéens veulent ».
Tibou Kamara est un saltimbanque et est un écorché vif, un frustré de par sa descendance : il est toujours dans une insatisfaction permanente car il ne peut briller comme il le rêve extérieurement. Il doit trouver un contexte de vie suffisamment difficile ou le créer inconsciemment pour montrer qu’il a l’étoffe d’un héros à la recherche du temps perdu. Il ne faut pas négliger l’autre face cachée de Tibou Kamara avec ses caprices d’enfants gâté à qui, l’on retire son jouet, c’est-à-dire son costard de hobereau bouseux de la 2e république. Il a du talent aussi, celui d’être un orfèvre de la prostitution et du vagabondage politique. Je vous laisse le soin de lire l’intégralité de ce texte…
Almamy Touré (Foté-Mory)
In rivièredusud.info