Liberté de la presse en Guinée: la situation s’est nettement améliorée sous le CNRD
Ce mardi 3 mai 2022, il a été célébré à travers le monde la Journée internationale de la liberté de la presse. Mais il faut rappeler que dans un passé relativement récent, la Guinée était pointée du doigt comme un pays où l’on enregistre de nombreuses atteintes à la liberté de la presse (journalistes menacés, emprisonnés ou battus par les forces de l’ordre, suspension des émissions interactives, accès difficile à l’information, etc). Conséquence: le pays était toujours mal placé au plan africain et mondial en matière de respect de la liberté de la presse, considérée à juste titre comme le 4ème pouvoir.
Avec l’avènement du CNRD au pouvoir, à sa tête le colonel patriote Mamadi Doumbouya, l’on peut vraiment se réjouir du fait que la situation se soit nettement améliorée. Le bond spectaculaire réussi par la Guinée dans le dernier classement mondial en est une preuve éloquente. Dans un rapport couvrant la période du 1er janvier 2021 au 31 décembre 2021, notre pays quitte la 109ème pour la 84ème. Et pour tous les observateurs, cette situation va continuer à s’améliorer dans les mois et les années à venir. Car, l’homme qui préside aux destinées de la Guinée depuis le 5 septembre est un grand ami de la presse. Les faits sont là pour en témoigner. Le 7 janvier dernier, l’on s’en souvient, à la faveur d’un déjeuner de presse, les présidents des associations professionnelles de presse (URTELGUI, AGUIPEL, AGEPI) lui ont soumis certaines de leurs doléances. Parmi ces doléances clairement posées par les représentants des hommes de médias, l’on peut citer notamment la revalorisation de la subvention annuelle accordée à la presse, l’allègement des redevances, la construction d’une maison de la presse. Et comme il fallait s’y attendre, le colonel-président Mamadi Doumbouya, après la présentation des vœux de nouvel an, a donné des réponses très satisfaisantes à la presse nationale, qui trouve indéniablement en lui, un ami sincère, un protecteur et un homme d’une grande capacité d’écoute. Il a annoncé séance tenante l’augmentation prochaine de la subvention accordée jusqu’ici à la presse (3 milliards francs guinéens). Il a également promis d’agir sur les redevances annuelles des radios et télés privées regroupées au sein de l’URTELGUI. Par rapport au projet de construction d’une Maison de la Presse digne du nom, que les journalistes guinéens appellent de tous leurs vœux, le valeureux colonel Mamadi Doumbouya a solennellement promis d’en faire une de ses priorités pendant cette transition. Le 15 février, joignant l’acte à la parole, il a mis à disposition un siège provisoire de la Maison de la Presse de Guinée (MDP), à la Minière, dans la commune de Dixinn, en attendant la construction d’un siège flambant neuf à Koloma, apprend-on. Un geste hautement symbolique applaudi des deux mains par tous les professionnels des médias.
Sans oublier que plusieurs journalistes et autres communicants ont bénéficié à ce jour des décrets de l’actuel locataire du Palais Mohammed 5. De là à le présenter comme un grand ami de la presse, il y a un pas que beaucoup d’observateurs ont franchi avec empressement, mais à juste raison.
Le colonel-président Mamadi Doumbouya et ses compagnons du CNRD sont une chance pour la Guinée profitons-en.
Avançons et aimons-nous dans la paix.
Ibrahima sory CISSE