Lutte contre la pauvreté: une priorité pour le CNRD et le gouvernement
La lutte contre la pauvreté fait partie des priorités du CNRD et de son président, le colonel patriote Mamadi Doumbouya. Il s’agira, à travers des actions concrètes, de redistribuer les richesses pour sortir les citoyens de la pauvreté. Au ministère de la Promotion féminine, de l’Action sociale et des Personnes vulnérables, il a ainsi été créé le Fonds de développement social et de l’indigence (FDSI). Et le choix du président de la transition s’est porté sur un acteur emblématique de la société civile, le très dynamique Lansana Diawara pour occuper le poste de Directeur Général dudit Fonds. Depuis sa nomination, ce dernier ne cesse de poser des actes concrets et hautement symboliques pour mériter la confiance placée en lui par les autorités de la transition. Pendant le mois saint de
Ramadan, on l’a vu sur le terrain pour la remise des vivres, notamment du riz, aux personnes démunies de Conakry, au nom du chef de l’État et de son gouvernement. Le samedi dernier, Lansana Diawara, le Directeur Général du Fonds de développement social et de l’indigence (FDSI), était du côté de Labé, la capitale de la Moyenne Guinée, pour le lancement du RSU (registre social unifié). Dans son discours de circonstance, il n’a pas manqué d’indiquer que le cas de la Guinée est un paradoxe. « Malgré la richesse de notre pays, les conditions de vie des populations restent misérables. C’est pourquoi, il est urgent d’œuvrer pour inverser la tendance actuelle. », dit-il. Avant de rappeler que dans la pratique, les responsables chargés de l’exécution des politiques de réduction de la pauvreté ont souvent deux options pour que les avantages des projets et programmes sociaux atteignent les populations défavorisées. La première est d’investir les budgets dédiés à la lutte contre la pauvreté dans les secteurs profitant majoritairement aux pauvres, tels que l’éducation primaire, les services de santé, ou de façon générale les services sociaux de base. Toutefois, cette première option profite aussi aux non pauvres et n’est pas socialement juste. La seconde option consiste à identifier les pauvres pour leur allouer de façon exclusive les bénéfices d’un programme. Les pauvres sont donc « ciblés » de sorte qu’ils soient les seuls bénéficiaires du programme ou de la politique. Ainsi, les dépenses effectuées par l’Etat vont aux pauvres seuls. Ces politiques sont plus efficaces et contribuent à réduire les inégalités.


Comme on le voit donc, le CNRD et son président ainsi que le gouvernement de transition sont en train de faire des pieds et des mains, à travers les services spécialisés de l’État, pour réduire considérablement la pauvreté dans notre pays. Un noble combat à saluer et à soutenir absolument.
Le colonel-président Mamadi Doumbouya et ses compagnons du CNRD sont une chance pour la Guinée profitons-en.
Avançons et aimons-nous dans la paix.
Ibrahima sory CISSE