Indépendance de la justice guinéenne: une réalité tangible sous la transition CNRD
Ce mercredi 5 octobre, le procès du massacre du 28 septembre 2009 est à son troisième jour. Un procès suivi de près par les associations de victimes et des organisations de défense des droits de l’homme. Depuis son avènement au pouvoir, le CNRD, à sa tête le colonel patriote Mamadi Doumbouya, fait de la lutte contre l’impunité, avec une justice Indépendante, une de ses priorités. Les actes posés et les actions menées dans ce sens sont salués et applaudis des deux mains aussi bien par les Guinéens de l’intérieur que ceux de la diaspora. Toutes celles et tous ceux qui se sont rendus coupables d’infractions économiques et financières sont appelés à répondre de leurs actes devant les juridictions compétentes. C’est le cas de la CRIEF qui a été créée par l’actuel locataire du Palais Mohammed V pour moraliser la vie publique.
Comme indiqué plus haut, le procès du massacre du 28 septembre qui se faisait attendre depuis 13 longues années s’est enfin ouvert le 28 septembre 2022 grâce notamment à la volonté politique clairement affichée par le président du CNRD, président de la transition, chef de l’État, chef suprême des Armées, le colonel patriote Mamadi Doumbouya. Ce dernier a dû renoncer à présider la cérémonie d’inauguration du bâtiment ad-hoc pour la tenue du procès du massacre du 28 septembre. Une façon pour lui de ne pas interférer dans les affaires judiciaires.
Comme on le voit donc, sous la transition CNRD conduite par le valeureux colonel Mamadi Doumbouya, l’impunité sous toutes ses formes est en train d’etre combattue avec la dernière énergie. La justice n’est plus instrumentalisée et donne tous les jours les preuves irréfutables de son indépendance. Ce qui réjouit tous les Guinéens qui n’ont jamais cessé de caresser le secret espoir de voir leur beau pays se hisser au rang des pays où les fonctionnaires et les élus se distinguent par la bonne gestion des deniers publics. Les poursuites engagées contre ceux qui sont en conflit avec la loi ne devraient pas être assimilées à une chasse aux sorcières ou à des règlements de comptes. Les actes posés par le CNRD et son président s’inscrivent dans le cadre de la refondation de l’État et de la rectification institutionnelle pour enfin faire de la Guinée un pays normal où les criminels économiques n’auront plus droit de cité et où la justice restera la boussole pour tout le monde.
Et on ne cessera jamais de le rappeler, le colonel visionnaire Mamadi Doumbouya et ses compagnons du CNRD sont une chance que les Guinéens se doivent de saisir pour poser les bases solides d’un développement durable de leur pays.
Avançons et aimons-nous dans la paix et dans la vie.
Ibrahima sory CISSE