Guinée: 3 ans de refondation réussie, ça se fête !
le Général patriote Mamadi Doumbouya, avec ses fidèles compagnons du CNRD, s’est résolument engagé dans la voie de la refondation de l’État et de la rectification institutionnelle. Trois ans après, l’on constate avec bonheur, la mise en oeuvre des réformes courageuses dans la plupart des secteurs de la vie nationale.
Le président Mamadi DOUMBOUYA a fait de la justice la boussole pour tout le monde pendant cette transition. La tenue du procès des événements tragiques du 28 septembre 2009 en est la parfaite illustration. Le tribunal criminel de Dixinn délocalisé à la cour d’appel de Conakry a rendu le 31 juillet dernier, le verdict final dudit procès, à la satisfaction des victimes et de leurs proches.
Et pour amener les Guinéens à se réconcilier avec leur histoire commune, aussi tumultueuse soit-elle, à regarder dans la même direction et à se donner la main, il a fait organiser avec succès les assises nationales dans les communes de Conakry, les 33 préfectures et les ambassades à l’étranger. Sans oublier la mise en place d’un cadre de dialogue national permanent pour échanger autour des sujets d’intérêt national au triple plan politique, économique et social.
Quid de ces nombreux chantiers de construction d’infrastructures qui ont été ouverts aux quatre coins du pays: routes, aéroports, aérodromes, ports, chemins de fer. Avec une politique sociale exécutée par les DG de la CNSS et de la CNPS, aujourd’hui les fonctionnaires et les travailleurs guineens sont satisfait des 2 caisses. L’une s’occupe des fonctionnaires et des agents de l’Etat et l’autre du secteur privé et parapublic.
Ce jeudi 5 septembre 2024, le CNRD soufflera ses 3 bougies, avec humilité et responsabilité.
L’heure doit être à l’union sacrée derrière le Général-Président Mamadi Doumbouya pour lui permettre de conduire sereinement le navire de la transition guinéenne à bon port. Les acteurs sociopolitiques qui appellent à des manifestations dans le grand Conakry devraient revenir à de meilleurs sentiments car personne n’a intérêt à que cette transition échoue.

Ibrahima sory CISSE