Lorsqu’il a été épinglé en 2013 pour avoir émis 22 chèques en bois, d’une valeur estimée à près de 2 milliards de francs guinéens, par le Général Toumany Sangaré, Directeur général des douanes, qui, humblement n’avait pas voulu faire de tapage publicitaire autour de cette grosse prise, le patron de la société «Golf transit», sétait engagé à faire face au préjudice financier causé par ses activités factices, aux services des douanes.
Malgré cette arnaque, quand on sait qu’en cas de chèque sans provision le bénéficiaire peut engager une action contre l’émetteur du chèque, selon la loi guinéenne, le fameux transitaire avait eu toutefois la chance de tomber sur un homme au grand cœur, humain et sensible comme le Général Toumany, pour se voir épargné la prison et ses effets pervers.
Mais le chevalier d’industrie a tenté un coup de Jarnac, en allant ester en justice contre le Général, à coups d’affirmations fausses et sans fondements. Malheureusement pour lui, sa tentative a fait chou blanc.
Et vu que tout ça sentait le souffre, ce transitaire peu scrupuleux, sest lancé dans un dernier baroud d’honneur, en inondant les ondes et la toile, d’informations fallacieuses.
Comme cette affaire de mœurs du côté de Paris, montée en épingle et cousue de fils blancs, où le nom du Général apparaît, comme par miracle.
Voilà qui ressemble bien au dernier stratagème d’un désespéré.
Moussa Traoré