« Mieux vaut tard que jamais » a-t-on l’habitude d’entendre. Alors M. Sanou Kerfalla CISSE permettez moi, à l’occasion de votre anniversaire de faire un petit témoignage sur ce que vous avez fait pour ma modeste personne. (Je précise sincèrement que l’affaire d’anniversaire ne m’intéresse pas outre mesure. Donc c’est à tire exceptionnel j’en fais cas cette fois et parce que vous êtes pour moi une personnalité exceptionnelle. Bien !).
En 2009, alors que nous étions encore à l’Institut supérieur de l’information et de la communication de Kountia, vous avez accepté () les candidatures de Gata DORE, Rose Essowimame Potcho et la mienne pour le stage à Sabari fm. Nous continuions parallèlement les cours à l’ISIC. En un laps de temps et grâce à l’appui notamment de votre bras droit, Malick Marcel BANGOURA (actuel Directeur Général du groupe Afrik-Vision), nous sommes parvenus à mettre en pratique toute la théorie journalistique apprise à l’école. Vous n’avez pas voulu vous limiter là. En 2010, au lendemain de notre sortie de l’institut, vous nous avez convoqués dans votre bureau (Rose Potcho et moi). « Où en êtes-vous par rapport à ‘ISIC? » nous avez-vous demandé ce jour. « Nous avons été libérés », nous répondîmes. « Alors à compter de cet instant, vous êtes des titulaires ici à Sabari fm. Vous ne connaitrez aucune minute de chômage » avez-vous déclaré. Ces deux phrases restent encore gravées dans ma mémoire, comme si c’était hier vous les avez prononcées.
Je dois reconnaître que par après, tout ne s’est pas passé comme sur des roulettes. Il y a eu quelques incompréhensions. Mais pour ma part, elles sont si minimes, si minces, si insignifiantes qu’il est impossible de masquer le bienfait dont j’ai bénéficié de vous. Ma carrière de journaliste, Malick et vous y êtes pour beaucoup. Permettez-moi une fois encore de vous dire merci et de vous souhaiter longue vie et la réussite de vos multiples projets, qu’ils soient personnels ou collectifs. Wassalam.