Au sortir d’une rencontre ce jeudi dans les locaux de la HAC (Haute Autorité de la Communication), Sanou Kerfalla Cissé, président en exercice de l’URTELGUI, a été interpellé sur la plainte contre des gendarmes, formulée par des journalistes violentés à l’Eco 3.
Selon le président de l’URTELGUI (Union des Radios et Télévisions Libres de Guinée), la plainte suit son cours normal.
«Nous sommes en contact régulier, pas plus que la semaine dernière, je parlais avec notre avocat dans le cadre de la poursuite ou de la mise en œuvre d’une poursuite à l’endroit des gendarmes qui ont violenté des journalistes», rassure-t-il.
Apparemment, cette plainte de la presse guinéenne contre les gendarmes qui les ont violentés ce jour à l’éco 3 de Matam peine à se voir donner une suite. A cette allure, tout porte à croire que les autorités judiciaires donnent l’impression que cette plainte contre la gendarmerie constitue le cadet de ses soucis.
Alhassane Djigué