Jadis réputée sérieuse, la Royal Air Maroc s’illustre de plus en plus et davantage, par des arnaques sur passager au quotidien, notamment sur la ligne Paris-Casablanca-Conakry.
Il fallait après tout choisir entre le froid et l’insécurité qui régnaient dehors et le confinement étouffant associé au manque de respect d’un passager abandonné par la Royal Air Maroc à Casablanca. Le calvaire vécu par la famille guinéenne à Casablanca en provenance de Paris.
Témoignage :
Partis convaincus de Paris dans le Vol initial AT751 du 29/06/2018 avec une présentation tardive de Vol de continuation AT527 du 30/06/2018 au départ de Casablanca.
Convaincus de la validité des billets de trois (3) membres de la famille guinéenne achetés à paris au même lieu pour se rendre à Conakry,ces trois jeunes s’embarquent de paris via Casablanca pour un escale sans probème ,ni défaillance constatée sur les billets et leur carte d’embarquement .
C’est arrivé à Casablanca en transit qu’un membre de la famille guinéenne s’est vu annulé la carte d’embarquement pour des raisons non encore dévoilées au public par la compagnie Royal Air Maroc.
Après des incidents à l’aéroport de Casablanca, la famille guinéenne qui ne comprenait toujours pas l’annulation du ticket d’embarquement d’un de leurs sur un terrain de transit, un consensus comme quoi le jeune doit attendre le vol de 00 h 50 et mis à la disposition du service transit/ escale.
A l’heure de ce second rendez-vous fixé par une agence de la RAM à Casablanca, il est signifié en vrac au passager d’attendre un autre vol ou d’acheter un autre billet s’il est pressé pour son voyage.
En lieu et place du respect du consensus trouvé à l’issue d’un incident éclaté à l’aéroport entre les membres de la famille guinéenne et les agents de la compagnie, le jeune guinéen désemparé est livré à lui-même dans un pays où il n’a pas d’attache ,il a cherché à s’abriter comme il le pouvait et soudainement son grand frère découvre que son siège a été vendu à un autre.
Question, comment se fait-il qu’un siège soit occupé par deux passagers ?
Nous donnons notre langue à la Royal Air Maroc qui s’illustre de plus en plus dans la négation parce que le passager s’est vu livré à lui-même pendant 72 heures dans un pays qui n’est pas le siens, il a perdu tous ses bagage pour ne citer que ceux-là.
Est-ce un abus de confiance alors mal assumé en fin de compte ? L’irresponsabilité rebutante et le mépris royal dont Royal Air Maroc fait ainsi montre à l’égard de ses passagers, ne peuvent que susciter indignation, dégoût et désaffection.