Invitée dans l’émission le quotidien de la radio Djigui Fm, la secrétaire générale du SLECG a démenti l’information selon laquelle les gendarmes les ont aider à ouvrir le siège. Elle a tout de même reconnu que ces collaborateurs ont défoncé les cadenas dudit siège.
<< Hier on a tenu une réunion extraordinaire à l’issue de laquelle, nous avons décidé aujourd’hui à 7h du matin, de nous rendre sur les lieux, ouvrir le siège pour l’occuper. Parce que ce siège n’est pas la propriété d’Aboubacar Soumah. Il a été construit par les membres fondateurs du SLECG, en l’occurrence Louis Mbemba Soumah, Ousmane Wora Diallo, Ousmane Tanou Baldé et tant d’autres. On a donc ouvert pour voir si nos matériels sont intacts, parce qu’on a constaté qu’il a même fait une couche de peinture. Il a occupé là-bas, comme si c’est sa propriété. J’ai trouvé que la gendarmerie a quitté les lieux. Ce sont les membres de l’exécutif du SLECG qui ont ouvert, pas les gendarmes >>, explique-t-elle.
Elle a tout de même précisé avoir été confrontée à la résistance de personnes qu’elle qualifie de << loubards >>. Ces derniers auraient emporté une moto ajoute-t-elle.
A suivre !
Abdourahmane Diallo