Kelefa Sall a été pris en flagrant délit avec des articles qu’il a fait publier sur les sites sous le couvert de faux noms en dénigrant notamment ses collègues au niveau de l’âge dont il n’a aucune preuve. Nous savons désormais qu’il en est l’auteur. De manière surréaliste, il va jusqu’à établir de facto de faux écrits il vient d’être dénoncé par son propre complice interne.
Dans les premiers documents et articles qu’il a fait établir lui-même et transmettre à la presse, il donne 42 ans à Dr Ansoumane sacko, 41 ans à Fatoumata Morgane et 43 ans à Ahmed therna sanoh. Ensuite dans un autre écrit qui a été retrouvé dans son bureau, il donne cette fois-ci 38 ans à Dr Ansoumane sacko, 43 ans à Fatoumata Morgane et 42 ans à Ahmed Therna sanoh. Ces deux versions contradictoires ont été faites par kelefa lui-même à l’encontre de ces personnes juste pour nuire en elles. Pourquoi écrire contre les collègues sous le couvert de pseudo nom. C’est dommage !!
Il y a près de 15 chefs d’accusation contre kéléfa Sall. Il ne s’en sortira pas cette fois-ci. Parmi ces chefs d’accusation, le plus important qui est mis en exergue par ses collègues est le mensonge qui déshonore sa fonction de président. Là encore il a fait un courrier en contradiction avec son mandat tout en faisant une lecture mensongère.
Donc ce n’est pas surprenant qu’on retrouve encore sur son chemin des écrits qu’il fait contre ses trois collègues. Sa traduction devant la cour suprême pour sa révocation cette fois-ci est inévitable par ses collègues et dans ce cas c’est sa perte de qualité qui est en jeu et il sera exclu définitivement de la cour, privé de sa qualité de membre.
Ensuite, un autre dossier a été retrouvé avec l’entête de la cour où kelefa Sall demande un financement du PNUD en faveur d’une branche de la société civile appelée BALLET CITOYEN. Il est prouvé explicitement que c’est Mr Kelefa Sall qui a parrainé la création de cette structure à sa solde. La cour entamera bientôt la désintégration de cette structure et la poursuite de ses membres devant la juridiction compétente. C’est très regrettable de voir le président d’une institution entretenir une société civile à son compte de surcroit utiliser la cour constitutionnelle dans le financement de cette structure illégale dénommée BALLET CITOYEN, qui n’a rien de commun avec celui du Burkina que ces personnes alimentaires et téléguidées cherchent à imiter et copier.
Kelefa Sall reçoit régulièrement le petit Koundouno dans son bureau avant, pendant et après la crise de la cour.
Il doit savoir qu’il y a une réciprocité des droits et obligations entre tous les membres de la cour. Il mène actuellement une campagne d’instrumentalisation et de financement de certaines structures pour atteindre sa vision de déstabilisation de la cour constitutionnelle. Hélas ! C’est sans savoir que les décisions de la cour constitutionnelle sont sans recours. La cour a toujours raison disent les constitutionnalistes.
A ce jour, 500.000.000 fg sont vidés des caisses et orientés dans l’instrumentalisation à travers les financements dans la communication et certaines structures de la place. Cette fois-ci Kéléfa va tout droit en prison.
Dans la vie, il y a des moments de réflexion en vue de préparer sa sortie au portail de l’histoire, Kèlèfa Sall comme c’est de lui il s’agit, doit aujourd’hui avoir la main sur sa conscience et démissionner pour son honneur et sa dignité. Car au-delà et en déca de la confiance, il n’y a pas de place pour la légitimité et la collaboration dans le travail avec les collègues. C’est devenu un secret de polichinelle que la Cour constitutionnelle n’est pas une institution à la taille de monsieur kelefa sall qui ne peut gérer même 8 personnes. Il fait plutôt prévaloir une gouvernance fondée sur l’arrogance et l’amateurisme.
La question qui se pose aujourd’hui est de savoir si kelefa peut toujours être la personne qui a raison au regard de tous les maux dont on reproche à la Cour aujourd’hui ? Non ! Est la réponse. Réfléchissons et laissons nos passions et nos tendances partisanes. Il y a lieu de se rendre à l’évidence aujourd’hui et au regard des preuves et non des rumeurs et de tout soupçon qu’il est plutôt la gangrène.
Huit membre de la cour c’est-à-dire neuf moins un (kelefa est ce moins un) ne peuvent se tromper en retirant leur confiance à leur président alors que conformément à la loi organique qui régit la cour 5 suffisait. Même les membres de la première composition de la cour ceux avec qui il a démarré la cour sont signataires.
Ce qui est surprenant Monsieur kelefa Sall reste hostile à toute structure de contrôle, l’organe de contrôle interne qu’exige les membres de la cour sur le fondement des dispositions de la loi organique relative aux finances publiques. Il qualifie le projet de décret qui vise la mise en place de cet organe de contrôle interne comme l’occasion d’« ouvrir la boîte à pandore au niveau des institutions constitutionnelle ». Il faut être atteint de la folie pour raisonner ainsi.
Je pense que l’heure de vérité a sonné pour trancher définitivement entre le mensonge et la vérité.
Karinkan Soumah