Les signes ne trompent plus. Depuis quelque temps, l’on peut se demander légitimement si le Parti Guinéen de la Renaissance (PGR) ne serait pas devenu la formation politique à combattre par tous les moyens dans la galaxie présidentielle.
Pour des raisons qui leur sont propres, des personnes malintentionnées se plaisent de plus en plus à casser du sucre sur le dos des responsables du PGR, à colporter des contrevérités sur cette formation.
L’on a ainsi appris, avec étonnement, que le véritable patron du PGR, celui qui le financerait dans l’ombre pour des visées politiques à moyen terme, serait un haut cadre de l’administration publique, précisément à la Présidence de la république. Ils ont ensuite fait courir les rumeurs selon lesquelles, le PGR serait financé de l’extérieur par un ancien Premier ministre, qui a pourtant sa propre formation politique. Ce qui est à des années-lumière de la vérité. Le PGR est financé à partir des cotisations de ses membres qui suent sang et eau pour le maintenir à flot. Que cela soit clair pour tout le monde. Mais comme dit l’adage français, celui qui veut noyer son chien l’accuse de la rage. L’évidence est que l’on ne peut jamais empêcher le soleil de se lever. Les adversaires politiques déclarés ou cachés pourront continuer à le voir à travers le prisme déformant de leurs préjugés, à l’accuser de tous les péchés d’Israël, à le faire passer pour ce qu’il n’est pas, le PGR, le parti champion, fera irrésistiblement son petit bonhomme de chemin sur la scène politique guinéenne.
Ce parti, animé par de jeunes cadres qui nourrissent de nobles ambitions pour leur pays, faisait partie des formations politiques dont la candidature a été retenue, après paiement de la caution, par la Commission électorale nationale indépendante (CENI) en vue du scrutin législatif du 22 mars.
Mais pendant la campagne électorale, l’on s’en souvient, le parti a reçu pas mal de coups bas de la part des adversaires certainement jaloux et tapis dans l’ombre. A Faranah par exemple, ses responsables ont été victimes de tracasseries, d’intimidation et de menaces. Pourquoi aller à Sékhoutouréya raconter des mensonges, des contrevérités, des ragots, des médisances, des propos malveillants sur le PGR, qu’ils tiennent à présenter, à tort, comme un parti d’opposition. Oubliant que le Parti Guinéen de la Renaissance (PGR), créé en 2009 par Ibrahima Sory Condé, Ibrahima Sory Cissé et feu Baldé de la BCRG, a été membre à part entière de la première alliance politique du RPG originel. Il s’agit de l’APC (Alliance pour le changement). C’était bien avant 2010. Et entre les deux tours de la présidentielle de 2010, le PGR s’est rangé derrière le candidat du RPG, le Pr. Alpha Condé, pour la suite que tout le monde sait. Halte donc à cette campagne d’intoxication et de dénigrement !
Ce qui est frustrant, nous nous battons pour la République, nous soutenons les idéaux du RPG Arc-en-ciel et du président de la République professeur Alpha CONDÉ, on nous traite de tous les noms d’oiseaux. Or ceux qui bravent la gouvernance du président professeur Alpha CONDÉ sont les bienvenus, a dit un responsable du PGR.
Les membres fondateurs du PGR, ont des grands parrains en France,aux États-Unis et en Côte d’Ivoire.
On peut citer Mr Marc Keller juif français, la famille bourguin en Côte d’Ivoire, Ami VALDOMORO une américaine vivante à Los Angeles, la ministre du travail du Royaume d’Espagne, maître DOMINIQUE INCHAUSPE avocat en France etc…. ils se connaissent tous avec Mr Ibrahima sory CISSE selon un responsable du PGR, la même source nous indique qu’un footballeur international serait lié à un haut responsable du PGR, ce footballeur aurait beaucoup fait pour le parti Guinéen de la Renaissance pendant les législatives du 22 mars 2020.
Une responsable du PGR va plus loin, elle demande au président professeur Alpha CONDÉ et au ministre de la défense nationale et coordinateur des actions du gouvernement une confrontation entre eux et ceux-là qui viennent chargés les responsables du PGR à la Présidence, selon Ibrahima sory CISSE il fera tout pour démasquer les détracteurs et seront traduit au tribunal.
A suivre
Mohamed Diallo