Alors que la fermeture des universités privées de Guinée, a été évitée de justesse, les regards sont désormais tournés vers le pré-universitaire où 2.400 enseignants contractuels, vont en grève à partir de ce lundi 1er février.
La décision, a été prise en assemblée générale samedi, après le constat du dédain du ministre Ibrahima Kourouma, vis-à-vis de ce dossier qui traine depuis plus de cinq ans, nous a confié un porte-parole de ces enseignants contractuels.
Leur revendication principale : leur intégration à la fonction publique. Eux qui donnent cours dans les établissements publics du pays, depuis cinq voire sept ans pour certains.
L’Etat, quant à lui, via le ministère de la fonction publique, souhaite soumettre ces enseignants à un test de recrutement en bonne et due forme.
Ce que ces derniers refusent, catégoriquement.
A suivre !
Bouba