C’est de notoriété publique, ils ont choisi de l’abattre, de le vouer aux gémonies, à la guillotine, s’il le faut ! Par tous les moyens ! Oui, pour arriver à leur fin satanique, tous les moyens sont bons.
Après le constat d’échec de toute la complotite déployée contre lui, depuis toujours, assortie de menaces de mort, de liquidation physique de sa personne et de celles de ses proches, en témoignent les récentes soufflantes poussées contre lui et sa famille par un certain Ousmane Diallo, le boutefeu de Gaoual, ils ont choisi désormais de tenter de le trainer dans la boue, de souiller sa réputation, de le faire passer pour un délinquant, pour un trafiquant de visas…comble de l’abjection, de l’abominable !
Qui veut noyer son chien, l’accuse de rage ! Cependant, même quand on veut le noyer, il faut reconnaître que le chien a des dents blanches, à la limite de l’immaculée.
Dans leur élan sordide et machiavélique, ils viennent de faire publier une platitude d’article infamant qui ne fait pas du tout honneur à la presse, dans lequel ils veulent que M. Malick Sankhon, soit peint en trafiquant de visas, moyennant espèces sonnantes et trébuchantes.
Dans ce torchon d’article monté de bric et de broc, un gros mensonge cousu de fil blanc, un ramassis de vues de l’esprit, totalement éloigné de la réalité, ils s’échinent à dire que trois jeunes guinéens, qui seraient passés par le fameux filtre du trafic de visas à la Malick Sankhon, oui trafic qui s’écrit avec C et non avec QUE, excusez de peu, Molière s’en est retourné dans sa tombe, -que ces trois jeunes personnages imaginaires tels dans un roman de science-fiction, auraient payé de l’argent à M. Sankhon, lequel leur aurait établi un ordre de mission, en bonne et due forme, sous le sceau des insignes de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale, et patati et patata… !!! Quelle honte pour la presse ! Quelle invention ! Trop gros pour être cru !
Ceux qui connaissent M. Malick, savent qu’il est à mille lieux de telles choses, qu’il a tellement du sang bleu qui coule dans ses veines qu’il ne peut s’autoriser une telle tartufferie digne de ceux qui savent l’imaginer.
Pour notre part, l’entourage de M. Malick Sankhon, dit que celui-ci, reste et demeure serein, aucunement ébranlé ou atteint par ces dénonciations calomnieuses, ces affabulations sans tête ni queue, mais se réserve le droit de porter plainte, si cet acharnement venait à continuer.
Nous disons, pour clore, comme le dit l’adage, que la bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe !
Malick Sankhon, est une blanche colombe ! On peut vouloir tout lui reprocher, mais l’assimiler à un trafic de visas, cherchez autres choses, comme vous avez décidé, vaille que vaille, de lui trouver des poux sur un crâne rasé.
A bon entendeur, salut !
Ibrahima Sory Cissé